Le coronavirus, c’est plus la guerre que la guerre. C’est la GUERRE !
by Adèle CoupechouxJe vous le demande : pire que le Coronavirus, c’est possible ?
La crise, la véritable pandémie, celle qui fout en l’air toute la société et continue de faire des morts, elle a un nom que vous avez entendu maintes et maintes fois : le terrorisme.
Ca vous dit quelque chose ? Les media en parlaient avant la pandémie… Sauf que maintenant le terrorisme n’est plus dénoncé puisqu’il est organisé par ces mêmes media accompagnés de ses politiques incompétents.
Le terrorisme, je le vis depuis le 16 mars quotidiennement, en me limitant à faire moins d’1 km pour faire mon exercice quotidien, en faisant mes courses à la hâte après avoir fait la queue pour les faire, en n’allant plus chez mon dentiste (que Le Conseil National de l'ordre des chirurgiens dentistes a fait fermer), en allumant la télévision, la radio.
Ce matin, place de la République, j’ai eu besoin de m’acheter un jean. Pour remplacer celui qui m’a lâchée pendant le confinement. Pas possible de faire des essais, faut essayer chez soi et rapporter les 4 articles si ça ne convient pas. Autant vous dire que le message est bien passé. Ca ne convient pas. Je préfère acheter en ligne que de faire des aller et retour.
Pour ceux qui rêvaient de décroissance, Macron l’a fait. La Récession en Marche ! Plus du tout envie de consommer. Plus besoin de prêcher la convertie que je suis devenue.
Même pas pour emporter un repas, pas trop envie de m’installer sur le trottoir ou de chercher un banc (tous pris d’assaut) pour déjeuner. Quand bien même Rachida aurait obtenu d’Anne qu’elle nettoie toutes les rues de Paris à l’eau de javel. Blague à part, j’aime tout simplement un minimum de confort et de convivialité, je suis rarement maso. Rassurez-vous, pas plus que je n’interdis à quiconque de porter un masque, je n’interdis à qui que ce soit d’être maso, si cela lui fait du bien, c’est sa liberté.
Alors contents, les décroisseurs ? Ca y est nous sommes enfin en train de sortir du mythe de la croissance infinie, nous arrivons à celle de la croissance moins que zéro. Vous ne l’attendiez pas celle-là ? Ben moi non plus, et pourtant j’étais loin d’être une consommatrice compulsive - je sais on dit tous ça.
Fermés les « lieux de plaisir », c’est ainsi que les media les ont appelés quand ils nous ont confinés en nous terrorisant. Plus de théâtre, de cinéma, de librairie, de restaurants, de bars. Plus de plaisir, de convivialité, de contact, de câlin, d’embrassade, de coup de foudre.
Pire que le coronavirus ? Y a pas. Les guerres, Ebola, la faim dans le monde, c’est rien à côté de Lui.
Le coronavirus, c’est plus la guerre que la guerre. C’est la GUERRE !
La guerre économique et sociale surtout. Un non-avenir qui risque d’être un choc dont personne ne va se remettre si personne n’est sincère. Le confinement a été la pire décision de prise. Pourquoi ne pas le reconnaître enfin ? S’il vous plaît ? Vous êtes encore là ?
Ah mon dentiste m’appelle, enfin un rendez-vous. Oui bien sûr, je vais mettre un masque, ben bien sûr, j’attendrai sur le palier que le patient précédent sorte du cabinet pour entrer et oui bien sûr j’accepte que vous me preniez ma température. Les carries entre autres ça finit par être douloureux. Quand je vous disais que j’étais rarement maso.