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Avions de la British Airways à l'aéroport de Châteauroux (Indre), bloqués à terre à cause de la crise du Covid, le 13 mai.
Photo Marc Chaumeil pour Libération

Aidé par l’Etat, le secteur aérien peut-il se décarboner ?

Le think tank Shift Project dévoile une série de propositions pour que l'aviation, fortement aidée par l'Etat après le confinement, revoie à la baisse sa consommation de carburant.

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Avions cloués au sol, frontières fermées, passagers immobiles, ciel immaculé… Les deux mois de confinement n’ont pas été des plus simples pour les compagnies aériennes, si bien qu’après six semaines d’arrêt de l’activité, l’Etat français a mis la main au portefeuille et accordé un prêt de 7 milliards d’euros à Air France. Ce coup de main pour permettre à un secteur très polluant de perdurer a suscité de nombreuses réactions. Quid des contreparties ? interrogent les associations de défense de l’environnement et certains élus.

Dans le cadre d’un «plan de transformation de l’économie», le Shift Project, un think tank français présidé par l’ingénieur et consultant Jean-Marc Jancovici, a justement présenté ce mercredi dans un rapport une série de propositions «abordables» afin de réduire de 20% en cinq ans les émissions du secteur aérien français.

Pour rappel, la consommation de pétrole du transport aérien rapporte

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