Italie : les vestiges d'une villa romaine découverts sous des vignes
D'autres mosaïques avaient déjà été découvertes dès la fin du XIXe siècle dans la commune de Negrar di Valpolicella, explique le « Corriere della Sera ».
C'est un trésor archéologique qui vient d'être déterré. Sur les réseaux sociaux, la commune italienne de Negrar di Valpolicella n'est pas peu fière de partager les clichés de la découverte faite par une équipe de la surintendance de Vérone, région dans laquelle elle se situe. Les fondations d'une villa romaine, ainsi que des mosaïques en excellent état, ont été découvertes… sous des vignes.
Leur datation est encore floue. La ville romaine pourrait être datée du IIIe siècle, selon le journal italien L'Arena, tandis que les mosaïques pourraient remonter au Ier siècle, à en croire le Corriere della Sera. L'endroit pour effectuer ces fouilles, commencées en octobre dernier et stoppées en février à cause de l'épidémie de coronavirus, n'avait pas été choisi au hasard. C'est ici que des premières mosaïques avaient déjà été déterrées, à la fin du XIXe siècle. On peut désormais admirer ces vestiges au musée archéologique du Teatro Romano, à Vérone. De premiers vestiges d'une villa romaine ont aussi été retrouvés dès 1920, avant que ce site ne soit quelque peu oublié, raconte L'Arena.
Dopo innumerevoli decenni di tentativi falliti, finalmente è stata riportata alla luce parte della pavimentazione e delle fondamenta della Villa romana ubicata a nord del capoluogo, scoperta dagli studiosi oltre un secolo fa.
I tecnici della Soprintendenza di Verona, con un carotaggio mirato del suolo, stanno parzialmente scoprendo i resti del manufatto ancora presenti sotto alcuni metri di terra, con un obiettivo preciso: identificare l'esatta estensione e la esatta collocazione della antica costruzione. Successivamente, la Soprintendenza si raccorderà con i proprietari dell'area e con il Comune per individuare le modalità più adeguate per rendere disponibile e visitabile questo tesoro archeologico nascosto da sempre sotto i nostri piedi. Il risultato non arriverà a breve e occorreranno risorse rilevanti. Ma è importante, finalmente, tracciare la strada.
Il Comune presterà tutta la collaborazione necessaria e ringrazia fin da ora i professionisti della Soprintendenza e i proprietari dell'area per l'unità di intenti e la disponibilità con la quale stanno perseguendo il progetto.
Un patrimoine culturel à mettre en valeur
Les techniciens, qui ont repris leurs fouilles la semaine passée, vont poursuivre leurs recherches pour « identifier l'extension et la localisation exactes de l'ancien bâtiment », explique la commune sur les réseaux sociaux. Elle espère par la suite pouvoir s'entendre avec les propriétaires des habitations aux alentours pour « identifier les moyens les plus appropriés pour rendre ce trésor archéologique toujours caché sous nos pieds disponible et accessible ».
« Nous pensons qu'un site culturel de cette valeur mérite notre attention et devrait être amélioré », justifie Roberto Grison, le maire de Negrar di Valpolicella, dans les colonnes de L'Arena. « Le résultat ne viendra pas de sitôt et des ressources importantes seront nécessaires », convient la commune, qui remercie au passage les techniciens et les habitants pour leur « disponibilité ».