Olivier Véran un “kéké” ? Son comportement pointé du doigt

En première ligne contre le coronavirus, Olivier Véran ne compte plus les heures passées au ministère de la Santé pour lutter contre la pandémie. Si son travail a été salué plus d'une fois, son comportement de "kéké" est pointé du doigt. Non Stop People vous en dit plus sur les révélations d'un député LR.

En acceptant de remplacer Agnès Buzyn au ministère de la Santé, Olivier Véran ne s’attendait pas à faire face à la crise sanitaire du coronavirus. Le neurologue de profession est très vite devenu l’un des visages forts de la politique française. Celui qui ne compte plus ses heures depuis le début de la pandémie sur le territoire français a gagné la confiance d’Emmanuel Macron en plus de voir son travail salué par bon nombre de ses pairs. 

"Il tient bien la barre, ses présentations en conseil des ministres sont extrêmement précises. Il ne cherche pas à attirer spécialement la lumière et passe volontiers le ballon à Jérôme Salomon le directeur général de la santé”, confiait la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye à Gala, en mars 2020.

Olivier Véran sur les pas de Christophe Castaner ? 

Si L'Opinion rapporte ce 25 mai 2020 qu’il est “une vraie révélation" du paysage politique, son comportement semble en agacer plus d’un. "Depuis qu'il est ministre, quand il vient à l'Assemblée, il fait le kéké. Sur le banc, il se tourne vers les uns, vers les autres, fait des clins d’œil, répond les mains dans les poches. Il a une attitude hâbleuse", a confié Aurélien Pradié, député LR du Lot, au journal.

Une attitude qui n'est pas sans rappeler celle de Christophe Castaner également surnommé “kéké” par Michel Sapin. Jérémy Marot, auteur du livre "Le kéké de la République" (revenant sur la communication et l'image du ministre de l'Intérieur) rappelait au micro d’Europe 1, début mars 2020  : “Un kéké, c'est un crâneur, hâbleur, un peu vantard, sûr de lui et, malheureusement pour lui, parfois ridicule".