Les origines troubles du SARS-CoV-2, le virus du Covid-19
by Vincent VerschooreDeux études isolées sur la nature du génome du SARS-CoV-2, et sa surprenante efficacité contre l’humain, mettent en doute l’hypothèse de son origine purement naturelle.
L’origine du virus SARS-Cov-2, qui entraîne la condition clinique dite Covid-19 qui chamboule la planète depuis trois mois, reste sujette à controverse. L’hypothèse la plus médiatisée aujourd’hui est qu’il s’agit d’un virus d’origine purement naturelle venant de la chauve-souris, puis passé (peut-être) au pangolin (qui mange des chauves-souris) puis à l’humain qui, dans sa version chinoise du moins, mange des pangolins voire même des chauves-souris.
Hypothèse qui reste à prouver car, contrairement à ce qui est généralement admis, il n’est pas du tout évident que le saut entre nous et le pangolin, ou la chauve-souris, ait eu lieu récemment. Ou lieu tout court.
En effet, si ce saut vers l’homme n’est pas récent, pourquoi aurions-nous assisté à cette soudaine émergence pandémique fin 2019 ? Et si, en plus, il n’est même pas certain que ce saut ait jamais eu lieu, alors les hypothèses gravitant autour d’un virus trafiqué, hypothèses partout déclarées mortes et enterrées sinon complotistes, reprennent d’intéressantes couleurs.
D’un SARS à l’autre.
Qu’est ce qui peut amener à penser que ce saut entre l’animal et l’humain ne soit pas si récent ? Et bien une très intéressante étude australienne, par Sakshi Piplani, Puneet Kumar Singh, David A. Winkler, Nikolai Petrovsky publiée sur arXiv.org ce 13 mai intitulée :
Comparaison par modélisation des affinités de connexion entre protéines Spike (sur le virus) et ACE2 (dans le corps) au sein de plusieurs espèces : pertinence pour une origine possible du SARS-CoV-2.
In silico comparison of spike protein-ACE2 binding affinities across species ; significance for the possible origin of the SARS-CoV-2 virushttps://arxiv.org/abs/2005.06199v1
Le principe de l’étude est de mesurer le degré d’affinité entre la protéine Spike située sur le virus, qui lui permet de s’accrocher aux cellules de l’hôte, et la protéine ACE2 qui est le principal point d’entrée du virus chez l’hôte. La logique voudrait que plus ce degré d’affinité est élevé, c’est-à-dire plus le virus est compatible, ou adapté, à son hôte, plus la relation est ancienne. A l’inverse, un degré faible indiquerait une apparition récente, le virus n’ayant pas encore eu le temps d’optimiser son système d’accroche.
La dernière partie de la synthèse de l’étude dit ceci :
Fait remarquable, la protéine Spike du SARS-CoV-2 avait le plus haute énergie de connexion (bindingenergy) pour la ACE2 humaine, plus élevée que pour toutes les autres espèces étudiées y compris la chauve-souris, la présumée source du virus.
Ceci indique que SARS-CoV-2 est un pathogène très bien adapté à l’humain. Des espèces étudiées, la meilleure compatibilité après l’humain allait au pangolin, ce qui s’explique le plus probablement par un processus d’évolution convergente.
La compatibilité du SARS-CoV-2 avec chien et chat était proche de celle pour les chauves-souris, toutes inférieures à celle avec l’humain, ce qui est cohérent avec les quelques cas observés de contagion auprès de ces animaux domestiques.
De manière générale, les données indiquent que SARS-CoV-2 est particulièrement bien adapté à l’infection humaine, ce qui pose la question de savoir si ceci relève d’un improbable événement naturel, ou si son origine est ailleurs.
Notably, SARSCoV2 spike protein had the highest overall binding energy for human ACE2, greater than all the other tested species including bat, the postulated source of the virus. This indicates that SARSCoV2 is a highly adapted human pathogen. Of the species studied, the next highest binding affinity after human was pangolin, which is most likely explained by a process of convergent evolution. Binding of SARSCoV2 for dog and cat ACE2 was similar to affinity for bat ACE2, all being lower than for human ACE2, and is consistent with only occasional observations of infections of these domestic animals. Overall, the data indicates that SARSCoV2 is uniquely adapted to infect humans, raising questions as to whether it arose in nature by a rare chance event or whether its origins lie elsewhere.https://arxiv.org/abs/2005.06199v1
Un virus particulièrement bien adapté à l’humain.
Donc oui, vous avez bien lu : selon ces chercheurs (et il faut rappeler ici que cette étude est en prépresse (1) et n’a pas encore été validée par des pairs), le virus du Covid-19 est particulièrement bien adapté à l’humain, mieux qu’à la chauve-souris ou au pangolin, ce qui indiquerait soit un coup de chance, soit une manipulation.
La parenté entre SARS-CoV-2 et la lignée SARS-Cov, que l’on retrouve chez l’humain, la chauve-souris et la civette, est confirmée, les deux variantes ayant 72% de leur génome en commun. SARS-Cov-2 est donc bien un dérivé du SARS-Cov, ce dernier étant apparu en 2002. Il avait alors touché 8 000 personnes dans 13 pays, et tué 770 personnes, soit un taux de mortalité de 9%..
Il est donc plus létal que le Covid-19, qui touche nettement plus de monde mais est moins mortel (taux de mortalité de 0,5%). En chiffres absolus, bien sûr, le Covid-19 est bien plus mortel que le Sras de 2002 vu qu’il touche une partie conséquente de la population, avec à ce jour de l’ordre de 320 000 décès de par le monde.
L’étude indique également que l’adaptation du SARS-CoV-2 au singe (macaque) est moins bonne que pour l’humain, et que si le virus du Sras est bien présent dans les chauves-souris, cela reste à prouver pour le virus du Covid-19. Ceci est cohérent avec le fait (selon l’étude) que le SARS-CoV-2 est moins bien adapté à la chauve-souris qu’à l’humain :
Même si SARS-CoV-2 vient de la chauve-souris, il a dû ensuite adapter sa protéine Spike pour optimiser sa connexion avec l’ACE2 humain. Il n’y a pour l’instant aucune explication du comment, quand et où ceci pourrait avoir eu lieu.
Even if SARS-CoV-2 did originally arise from a bat precursor it must later have adapted its spike protein to optimise its binding to human ACE2. There is no current explanation for how, when or where this might have happenedhttps://arxiv.org/ftp/arxiv/papers/2005/2005.06199.pdf
Contrairement au Sras où la filiation entre chauve-souris, civette et humain a été démontrée, avec virus existant au sein des trois espèces, dans le cas du virus du Covid-19 il ne semble exister tel quel que chez l’humain. Il n’a pas été retrouvé dans le pangolin (qui est infecté par un cousin du virus, le pangolin-CoV avec qui il partage 90% de son génome), et chez la chauve-souris il existe sous la forme d’un autre proche cousin, le BatCoV RaTG1, les deux partageant un même génome à 96%.
Faute d’hôte originel, faute d’hôte intermédiaire, l’origine du SARS-CoV-2 reste inconnue. On sait par contre qu’à Wuhan existe un laboratoire spécialisé dans le Coronavirus, qui manipule le BatCoV de la chauve-souris, et que seule la découverte d’hôtes naturels, ou tout autre phénomène non encore identifié, pourrait réfuter l’hypothèse la plus probable par défaut : celle d’un nouveau virus spécifique à l’humain, créé au P4 de Wuhan d’où il se serait échappé. Ou libéré.
Pain béni pour les complotistes me direz-vous. Sans doute, mais il est parfois intéressant de suivre des chemins que la bonne morale réprouve, surtout en cette période où l’absurde s’impose à nous jour après jour depuis deux mois. Alors allons-y, et sans attestation dérogatoire ni masque, svp !
Retour sur une étude maudite.
Mi-avril je publiais un article basé sur la toute récente déclaration du fameux Prof. Luc Montagnier, célèbre pour son Nobel de médecine en 2008 pour la découverte du Vih dit « virus du Sida », mais depuis lors considéré comme sénile ou pestiféré du fait de ses prises de position « hérétiques » sur la mémoire de l’eau et sur les vaccins.
Pour mémoire, Montagnier avait déclaré en avril que le SARS-CoV-2 était un virus artificiel mélangeant du Coronavirus classique et des éléments du Vih. Il basait son argument sur une étude effectivement publiée en prépresse sur le serveur ResearchGate, par lui-même et Jean-Claude Perez, mathématicien à la retraite, pionnier de la « bio-informatique » et auteur de l’ouvrage « Le Supra-code de l’ADN » (2) paru en 1997.
L’objet de mon article intitulé « Luc Montagnier, le Vih et l’origine du Covid-19 » (3) était de retracer l’origine de l’affirmation de Montagnier sur sa capacité à « guérir » les malades du Covid-19 en les soumettant à un champ d’ondes interférentielles (lire : quantiques) susceptible de détruire la partie « Vih » du SARS-CoV-2, transformant alors ce dernier en « simple » Coronavirus, du genre de ceux qui nous filent des rhumes.
Mais la clé de l’accusation selon laquelle le Covid-19 serait dû à un virus artificiel vient, elle, du travail de Perez présenté dans cette étude intitulée :
Génomes COVID-19, SARS et Coronavirus de Chauves-souris, séquences exogènes ARN inattendues.
COVID-19, SARS and Bats Coronaviruses Genomes Unexpected Exogeneous RNA Sequenceshttps://www.researchgate.net/publication/340924772_COVID-19_SARS_and_Bats_Coronaviruses_Genomes_Unexpected_Exogeneous_RNA_Sequences
On trouve ceci dans l’introduction :
Cet article démontre comment 16 fragments d' »éléments d’information exogènes » (Env Pol et gène Integrase), issus de plusieurs lignes, aussi diversifiées que récentes, des rétrovirus VIH1, VIH2 et SIV (le Vih du singe, ndt) semblent très probablement présents dans le génome du (virus du) Covid-19. Parmi ces « empreintes digitales », 12 seraient concentrées dans une toute petite partie du génome Covid-19 d’une longueur de moins de 900 bases, soit moins de 3% de la taille totale du génome. De plus, ces « empreintes » se situent dans 2 gènes fonctionnels du Covid-19 : le orflab et le gène S ou Spike.
This article demonstrates how 16 « Exogeneous Informative Elements » fragments (Env Pol and Integrase genes) from different strains, both diversified and very recent, of the HIV1, HIV2 and SIV retroviruses most likely are present into the genome of COVID-19. Among these fingerprints, 12 of them would be concentrated in a very small region of the genome COVID-19 of length less than 900bases, i.e. less than 3% of the total length of this genome. In addition, these footprints are positioned in 2 functional genes of COVID-19 : the orf1ab and S spike geneshttps://www.researchgate.net/publication/340924772_COVID-19_SARS_and_Bats_Coronaviruses_Genomes_Unexpected_Exogeneous_RNA_Sequences
Et c’est bien évidemment là où ça pique, si je puis dire : on retrouve ici le gène Spike, associé à la protéine Spike qui permet au virus de s’accrocher à son hôte via la protéine ACE2. Cette même protéine Spike que l’étude australienne, présentée ci-avant, trouve bizarrement efficace dans sa capacité à infecter les cellules humaines. Tellement plus efficace chez l’humain que chez ses supposés hôtes traditionnels (chauve-souris et pangolin) que l’origine purement naturelle du virus est mise en doute.
Réfutation de l’hypothèse artificielle.
Cette publication, datée d’avril, a bien entendu attiré l’attention. Un magazine grand public, Le Point, y consacra un dossier le 18 avril où on lit ceci :
Passons au fond de l’affaire. Faut-il croire le mathématicien quand il attribue six fragments du Sars-CoV-2 à différentes souches de virus VIH ? Précisons d’abord qu’il s’agit de fragments minuscules, composés d’une vingtaine de bases (une sorte d’alphabet de 4 lettres qui permettent d’écrire le grand livre de notre génome) sur les quelque 30 000 qui composent le génome entier du coronavirus. Pour le chercheur Éric Leroy : « Trouver de minuscules fragments génomiques identiques à des séquences d’autres virus est très classique. Un génome, c’est extrêmement grand. La comparaison de séquences génomiques pour identifier un virus est habituelle et systématique. On utilise pour cela des algorithmes qui comparent les séquences d’un génome donné, ici, le Sars-CoV-2, à toutes les séquences des génomes du monde vivant connus. Plus on s’intéresse à des séquences courtes, plus on trouvera des séquences analogues à celles d’espèces virales de plus en plus éloignées. On pourrait même trouver des analogies avec de très courtes séquences génomiques de mammifères et de plantes. »https://www.lepoint.fr/sante/le-virus-du-sars-cov-2-a-t-il-ete-cree-par-l-homme-tous-les-elements-pour-en-juger-18-04-2020-2371937_40.php
Et l’article se termine donc sur une fin de non recevoir :
Alors, à chacun de se faire une opinion. La nôtre est arrêtée : faire confiance à la communauté scientifique dans la mesure où le génome du Sars-CoV-2 a été, depuis le début de la pandémie, décrypté à de multiples reprises par des milliers de chercheurs du monde entier et que jamais aucun laboratoire sérieux et crédible n’y a détecté des segments significatifs du VIH ou d’un autre virus. À ce niveau-là, un complot scientifique est impossible. Un Prix Nobel qui s’est récemment fourvoyé dans pas mal d’affaires peu crédibles n’est pas une caution suffisante face à l’entière communauté scientifique.
Quant à l’extraordinaire coïncidence de voir une épidémie démarrer à proximité d’un laboratoire P4, Jean-Michel Claverie avance une explication : « Le laboratoire de Wuhan est spécialisé dans l’étude des coronavirus. On peut imaginer qu’un de ses agents ait été infecté par une chauve-souris dans la nature, ou même dans le laboratoire. Il aurait rapporté le virus au laboratoire, puis dans sa famille. Il peut y avoir eu une erreur de ce type. Cela arrive. Mais très certainement pas un bricolage délibéré du virus. » https://www.lepoint.fr/sante/le-virus-du-sars-cov-2-a-t-il-ete-cree-par-l-homme-tous-les-elements-pour-en-juger-18-04-2020-2371937_40.php
Ceci fut publié avant la publication australienne qui pose, d’une autre façon, la question de l’origine du virus. J’ignore ce que les experts interrogés par Le Point diraient aujourd’hui s’ils avaient connaissance de ces nouvelles données – et pour autant, bien sûr, que ces données soient correctes, ce qui à mon niveau est évidemment impossible à dire.
Le scénario SARS-CoV-2 artificiel en résumé :
- Fin 2019, un Coronavirus baptisé SARS-CoV-2 surgit à Wuhan, à proximité d’un laboratoire de haute sécurité spécialisé dans les Coronavirus, et notamment ceux des chauves-souris.
- La pangolin, un animal qui mange (parfois) des chauves-souris et est mangé (parfois) par les Chinois qui l’achètent sur le marché animalier de Wuhan, est considéré comme l’hôte intermédiaire entre la chauve-souris et l’humain.
- Aucune validation scientifique de ceci ne semble exister : le SARS-Cov-2 n’existe pas, en tant que tel, chez les chauves-souris ni chez le pangolin, qui sont infectés par des coronavirus cousins mais non identiques.
- En avril 2020, Perez et Montagnier prétendent démontrer que SARS-CoV-2 présente d’inexplicables similitudes avec le VIH, et ce en particulier au niveau des protéines Spike qui permettent au virus d’accrocher les protéines ACE2 de leurs hôtes – condition essentielle à leur capacité infectieuse.
- En mai, une étude australienne prétend démontrer que l’efficacité de la protéine Spike du nouveau SARS-CoV-2 est optimale dans le contexte humain, et supérieure à sa capacité dans son supposé milieu naturel, celui des chauves-souris et des pangolins.
Si l’on en croit ce déroulé, une conclusion s’impose : le SARS-CoV-2 est un avatar de Coronavirus classique de chauve-souris, avatar dont la capacité d’adaptation à l’humain a été optimisée par, notamment, la modification génétique de sa protéine Spike. Modification réalisée, peut-être, à partir d’extraits du génome du Vih, un virus réputé efficace dans sa capacité à infecter les cellules humaines.
Tout ceci se passant à Wuhan, au pied du fameux laboratoire P4, on ne peut ignorer la conclusion complémentaire d’un accident ayant laissé échapper un virus artificiel, développé spécifiquement pour être efficace chez l’humain. C’est en tout cas nettement plus probable que l’histoire, racontée dans Le Point, d’un laborantin qui se serait fait mordre par une chauve-souris, vu que le SARS-CoV-2 n’existe apparemment pas tel quel chez les chauves-souris, et qu’il aurait donc fallu que ce virus mute quelque part, et un peu miraculeusement, entre la chauve-souris, le labo et le grand public.
Il est bien sûr possible que rien de ceci ne soit vrai, et la vérité bien plus prosaïque mais il existe un faisceau d’indices, comme on dit, en faveur de l’hypothèse d’un virus artificiel particulièrement bien adapté à l’humain et s’étant échappé du P4 de Wuhan.
Un virus artificiel, pourquoi et pour qui ?
Poussant la chose jusqu’au bout, un virus échappé ou libéré ? Et un virus pour quoi faire ?
Il est courant, en matière de vaccins, d’utiliser des morceaux de virus vivant comme « moteur » afin d’initier une réaction immunitaire. C’est typiquement le cas du BCG et il est plausible que le P4 de Wuhan travaillait sur un tel vaccin, soit contre un type de Coronavirus type SARS ou MERS, soit pourquoi pas contre le Vih.
Un bout de Coronavirus pour initier une réaction immunitaire, associé à un bout de Vih pour faciliter la pénétration cellulaire, une combinaison qui pourrait peut-être marcher mais, si c’était effectivement l’idée, ce n’était pas prêt et la « charge explosive » de la chose pas encore démilitarisée. Il est donc tout à fait plausible que, suite à un incident mal géré au sein du labo, ce virus artificiel se soit échappé avec les conséquences que l’on sait.
On peut également considérer, pour la forme, l’hypothèse d’une libération volontaire mais on voit quand même mal les Chinois lâcher un virus dangereux en plein centre de leur propre pays, qui plus est à deux pas du labo ayant créé la bête. Le régime de Xi Jinping est sans doute ignoble à plusieurs titres, mais pas complètement débile pour autant.
On peut, par contre, tout à fait considérer l’hypothèse de l’arme biologique, un virus artificiel à base de Coronavirus avec éventuellement des éléments de Vih, accidentellement échappé du P4 de Wuhan. L’imagination meurtrière des psychopathes qui peuplent les Etats-Majors du monde entier n’a pas de limites.
Voyons si l’étude australienne attire l’attention, voyons si ses conclusions sont réfutées ou pas, et voyons si les pays touchés par le Covid-19 développent un argument accusatoire envers la Chine basé sur des conclusions scientifiques probantes. « Des choses se sont passées qu’on ne sait pas » disait Macron à ce sujet (5), et pour une fois ce n’est pas une connerie.
Liens et sources :
(1) https://zerhubarbeblog.net/2020/05/06/covid-19-etude-des-luttes-ou-lutte-des-etudes/
(2) https://www.eyrolles.com/Sciences/Livre/le-supra-code-de-l-adn-9782872110179/
(3) https://zerhubarbeblog.net/2020/04/17/luc-montagnier-le-vih-et-lorigine-du-covid-19/