La pandémie au Repos Saint-François d’Assise 25 May 2020 by Renaud Philippe La pandémie de coronavirus, meurtrière, a forcé la société à changer ses rites funéraires et les cimetières, à s'adapter . Au Repos Saint-François d’Assise, à Montréal, les employés doivent jongler entre l'afflux de défunts et l'accompagnement des familles.
1. Les dépouilles des personnes décédées de la COVID-19 sont entreposées en attente de leur crémation.Renaud Philippe Le Devoir 2. Avec la distanciation physique qu’exige la pandémie, les rites funéraires devront être réinventés, estiment les membres de la famille Durand, venus pique-niquer près de la pierre tombale de leur mère.Renaud Philippe Le Devoir 3. Les transporteurs funéraires sont aussi au front, récupérant quotidiennement des dizaines de corps.Renaud Philippe Le Devoir 4. La moitié des dépouilles transportées sont celles de personnes ayant succombé à la COVID-19.Renaud Philippe Le Devoir 5. Jusqu’à 600 cercueils peuvent être entreposés dans les trois salles réfrigérées du cimetière.Renaud Philippe Le Devoir 6. Benoit Salvail, graveur de pierre tombale, s’attend à être très sollicité dans les prochaines semaines en raison des nombreux décès liés à la pandémie.Renaud Philippe Le Devoir