La pandémie au Repos Saint-François d’Assise

by

La pandémie de coronavirus, meurtrière, a forcé la société à changer ses rites funéraires et les cimetières, à s'adapter. Au Repos Saint-François d’Assise, à Montréal, les employés doivent jongler entre l'afflux de défunts et l'accompagnement des familles.

https://media1.ledevoir.com/images_galerie/nwlr_813640_645394/image.jpg
1. Les dépouilles des personnes décédées de la COVID-19 sont entreposées en attente de leur crémation.Renaud Philippe Le Devoir
https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwlr_813640_645348/image.jpg
2. Avec la distanciation physique qu’exige la pandémie, les rites funéraires devront être réinventés, estiment les membres de la famille Durand, venus pique-niquer près de la pierre tombale de leur mère.Renaud Philippe Le Devoir
https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwlr_813640_645345/image.jpg
3. Les transporteurs funéraires sont aussi au front, récupérant quotidiennement des dizaines de corps.Renaud Philippe Le Devoir
https://media1.ledevoir.com/images_galerie/nwlr_813640_645342/image.jpg
4. La moitié des dépouilles transportées sont celles de personnes ayant succombé à la COVID-19.Renaud Philippe Le Devoir
https://media1.ledevoir.com/images_galerie/nwlr_813640_645339/image.jpg
5. Jusqu’à 600 cercueils peuvent être entreposés dans les trois salles réfrigérées du cimetière.Renaud Philippe Le Devoir
https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwlr_813640_645336/image.jpg
6. Benoit Salvail, graveur de pierre tombale, s’attend à être très sollicité dans les prochaines semaines en raison des nombreux décès liés à la pandémie.Renaud Philippe Le Devoir