Adopté par le vestiaire, Paredes se sent très bien au PSG
Au PSG depuis un an, Leandro Paredes n'est toujours pas un titulaire indiscutable, mais a relevé la tête et entre désormais complètement dans la rotation de Thomas Tuchel. Un changement qui trouve peut-être ses origines dans sa très bonne intégration au sein du vestiaire parisien.
by Jean ChemarinIl y a quelques mois encore, une rumeur dans la presse française faisait état d'un Leandro Paredes peu intégré au sein du vestiaire parisien, où certains joueurs estimaient visiblement qu'il n'avait tout simplement pas le niveau pour évoluer au PSG. Une rumeur qui semblait pousser l'Argentin vers la sortie, six mois seulement après son arrivée. L'Argentin est finalement resté à Paris l'été dernier, mais son nom a encore été cité lors du dernier mercato d'hiver, notamment en Italie où les médias limaginaient signer à la Juventus Turin dans un chassé-croisé avec Emre Can.
Le 1er janvier dernier, Le Parisien a aussi écrit que Paredes souhaitait quitter le club. Une info que personne n'a confirmée par la suite. Puisque rien n'est figé dans la vie, Le Parisien raconte aujourd'hui comment Paredes est heureux avec sa compagne et ses deux enfants à Paris, mais surtout comment il est devenu le chouchou du vestiaire parisien. Complice avec ses compatriotes Di Maria et Icardi, ainsi qu'avec les hispanophones Cavani et Keylor Navas, Paredes s'est aussi lié d'amitié avec Neymar, à qui il réserve même quelques petites surprises dans le vestiaire de temps en temps. Jovial et blagueur, Paredes est également "validé" par des joueurs importants du groupe comme Verratti et Mbappé.
S'il joue toujours aussi peu en Ligue 1, Paredes rentre régulièrement en jeu et a également été titularisé à quatre reprises en coupes depuis le début de l'année 2020 : trois fois en Coupe de France et lors de la dernière demi-finale de Coupe de la Ligue face à Reims. Bref, tout va mieux pour Paredes à Paris depuis quelques semaines, au point que son avenir ne semble désormais plus s'écrire loin de la capitale. Comme quoi, il faut parfois laisser le temps au temps...