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Acid Arab aux Transmusicales de Rennes, le 7 décembre 2019.
Photo Samuel Kirszenbaum

Foulard ondoyant et vasectomie : nos Transmusicales 2019

Le festival rennais, qui clôturait dimanche sa 41e édition, affichait un bilan partagé entre réussites et déceptions, dans un contexte de conflit social. Résumé en montagnes russes émotionnelles, marquées par la prestation exceptionnelle d’Acid Arab.

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On avait manqué la soirée d’ouverture des Transmusicales à Rennes mercredi, notamment le joueur de tabla japonais U-Zhaan et les rappeurs Roy et Dopeness, puis l’afro-rock de Bantou Mentale. Mais on était bien au rendez-vous jeudi pour le second rendez-vous entre Etienne Daho et la ville qui l’a vu naître sur scène il y a quarante ans. Le concert au TNB, enfin bien sonorisé, élégant et généreux, rattrapait le ratage sonore de la veille. On ne retiendra de la suite dans des halls encore très clairsemés (jour de grève nationale oblige) que la frénésie des Colombiens d’Acido Pantera puis le jazz consolateur de Cochemea, saxophoniste américain attaché à la culture de ses ascendants Yaquis et Mescalero Apache.

Tout a bien commencé ensuite, vendredi soir à l’Ubu, avec la chanteuse israélienne Liraz, tout en paillettes et ornementations vocales. Le répertoire pop iranien des années 70 (celui de ses parents, et de la chanteuse Googoosh entre autres) joué façon mix oriental funky-farsi brillait

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